Un essai
Il a suffit qu'elle sorte pour comprendre que tout
s'écrouler autour d'elle
il ne l'a regardé plus avec ses yeux
d'amour
il ne lui souriait plus comme quand elle faisait ces
bêtises
elle savait que dehors il faudrait apprendre à
respirer
courir pour des idées, pour elle, pour pas qu'elle
s'enlise
il a suffit qu'elle ferme cette porte pour comprendre que
tout aller recommencer
sans lui ,
la démarche mal assurée, le
cœur en déconfiture, les yeux remplis de gris
elle partait loin,
loin de tous ces bonimenteurs de bonheur
elle avance doucement,
encore aujourd'hui avec peine
mais elle a gagné d'être
libre
elle a tout laisser, même ces plus beaux mots
là-bas
près de la rivière,
ils continuent à valser les soirs d'automne
un peu trop froid
ils sont là pour réchauffer toutes les âmes
perdues
et parfois quand le cœur lui en dit
elle lui en
envoie, comme des étoiles brûlantes
même s'il a disparut,il
continue de vivre
elle croit encore qu'il vient le soir
parfois
comme un phantasme juste la regardé
alors elle lui
parle, lui sourit
pourtant elle s'est bien que tout est faux
quand
elle rentre dans ces draps, juste une ombre la serre dans ces
bras
mais elle sait qu'un bout d'elle est restait accroché à son
cœur
malgré les sarcasmes elle en est convaincue
pourtant
c'est elle qui l'a tué!
de l'avoir mal aimé...
Je voudrai du temps pour
croire encore que le ciel est trop bleu parfois
j'aimerai que les
mots reviennent comme quand j'étais trop malade de toi
j'en ai
qui reviennent parfois ils me cognent toujours dans le cœur
bébé
combien de fois j'ai du serré les dents pour ne pas
pleurer
et aujourd'hui je crois que j'ai perdue
perdue l'envie
d'aimer, l'envie de rêver tout simplement
mais les mots
reviennent toujours au fond de moi
il n'y a qu'a toi qu'il sont
dit avec amour, ze crois