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In My Heart

22 novembre 2012

Ma p'tite maman

Plus de 9 mois que tu es parti.

Je n'arrives toujours pas à réaliser. Chaque jour qui passe, ton absence me rappel que tu n'es pas là, et pourtant il m'arrive d'espérer encore. Parfois je regarde mon téléphone et j'attends. J'aimerai tant que tu m'appels, comme avant, chaque jour, pour ne rien se dire de très important mais on se racontait la journée, ce que tu avais préparé pour le diner, une émission radio (tu ne dormais plus beaucoup, et comme tu avais pratiquement perdu la vue, tu te mettais au lit et tu écoutais la radio). Je sais que tu n'aimais la nuit, le noir, se sentir seule, peut être aussi peur de mourir seule.

Plus de 9 mois que tu es parti, et j'attends, c'est un peu fou que tu me reviennes.

Mon coeur ne cesse de t'appeler maman, de te pleurer, de t'aimer tant, maman.

Tu en as eu des batailles dans ta vie.. Comme tu as été forte face à tout ça..

 

 

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6 novembre 2012

Petit bout d'homme (A Monique et Marc)

Perles de pluie, coulent sur ta joue.

Ton enfant, petit être que tu as serré si fort dans tes bras, petit bout d'homme que tu as aimé dés le premier regard.

Tes mains ont parfois serré un peu trop fort ces petites mains, pour éviter un accident, pour ne pas le perdre dans la foule, pour le protéger du monde.

Les soirs, même après une journée de travail bien arrassante, tu prenais le temps de t'assoir au bord du lit, pour lire quelques lignes d'une vieille histoire, ces contes d'enfants qui nous ont bercés, fait de jolies rêves..

Et plus tard, au fond de ton lit, tu imaginais son futur. Ce petit bout d'homme grandissait, et tu ne voulais que le meilleur pour lui. Mais tu gardais toujours comme un secret l'image de ce petit bout d'homme au fond de ton coeur, il était ton bébé, il resterait toujours ton bébé, ton amour, ta réussite..

Les années passent, tu ne le vois qu'encore comme un enfant, mais tu comprends qu'il devient un homme. Tu lui as donné les clefs pour comprendre l'essentiel de la vie, et lui a fait ces expériences, bonnes ou mauvaises, il savait que tu étais toujours là. Le soutenir, le remettre sur le droit chemin et tu étais toujours là...

Un beau jour, où peut être une nuit, ton petit bout d'homme s'est envollé.

Tu n'as pas voulu comprendre, tu n'as pas voulu entendre que jamais plus tu le sentirai contre ton coeur.

Une douleur anesthésiante t'a prit le coeur, un enfer.

Les jours passent, ton petit bout d'homme reviens dans tes sommeils agités, te parler, te sourire.

Et parfois tu viens t'assoir au bord de son lit, pour retrouver la douceur, et se dire qu'un jour tu sera à nouveau auprès de lui, à lui relire ces pages.

Ton petit bout d'homme est parti avec un bout de toi, mais n'oublie jamais qu'il t'a laissé un bout de lui au fond de ton coeur.

Il n'y a rien de plus grand que l'amour d'un enfant, de ces parents..

Alors quand tu sentiras un rayon de soleil venir te carresser les joues pour effacer tes perles de pluies, dis toi que c'est lui qui les essuies pour retrouver ton sourire..

 

A Fabien et Romain

ange

 

6 novembre 2012

Une envie

Il y a bien longtemps que je n'ai pas eu cette envie d'écrire. Comme je dis bien souvent alligner les mots, laisser flotter l'air du temps, sur un tempo, une musique de l'âme.

Un peu de tout, un peu de rien, se laisser plaire par ces mots sans rytme, laisser ses doigts battrent la mesure sur ce clavier un peu usé.

Et dans ma tête courir, courir à n'en plus revenir.

Le casque sur les oreilles, laissé tourner la musique, ces vieux tubes qui rassurent, qui vibrent les souvenirs, qui rappel l'absence.

Et dans ma tête courir, courir à n'en plus finir.

Flashback, le passé comme un papier un peu froissé, vient faire du bruit dans mon coeur.

Et mon présent, rempli de beaux sentiments, me dit que c'est si bon de Vivre aussi.

Et dans ma tête courir, courir pour ne pas vieillir.

Il y a bien longtemps que je n'avais eu cette envie d'écrire. Un peu de tout, un peu de rien..

Juste quelques mots pour retrouver le goût de demain.

Et dans ma tête courir, courir...

10 août 2011

..

Je voudrai une machine à rattraper le temps comme chantait Indo.

Rattraper ces erreurs, rattraper les mots pas jolis que l’on dit de temps en temps.

Effacer les larmes amers, s’enfuir quand il était encore temps.

Oublier ces gens qui vous adorent mais qui par derrière vous descendent copieusement.

Rattraper les heures perdues, effacer les blessures, courir et se foutre du monde bien pensant.

Je voudrai une machine à rattraper le temps…

Mais Est-ce bien raisonnable?

Non! Je préfère ce que je suis devenue avec le temps…

Jusqu’à présent j’étais locataire de ma vie, aujourd’hui je vais être propriétaire de ce que je suis.

26 juillet 2011

Il est mon ange

Après des nuits sans sommeils, des nuits ou tous volent en éclats dans sa tête. Une lumière.

Un être.

Un homme, juste un homme viens braver vos fantômes, vous prend la main pour vous montrez le meilleur des chemins.

Lui faire confiance et le suivre, vers la lumière de l’amour ou tout vous parait plus beau, plus doux.

Aimer, l’aimé comme si les dernières heures devaient nous séparer.

Aimer, l’aimé et se laisser aimé pour l’imparfaite que vous êtes..

Après des nuits sans sommeils, des nuits ou tous volent en éclats dans sa tête. Une lumière.

Un être.

Un homme, juste un homme au doux nom de Fabien a qui je laisse me prendre la main pour me montrer le meilleur des chemins. Le notre…

Je l’aime, je t’aime..

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9 décembre 2010

Tu

Tu n’as rien abimer de ce que je suis à l’intérieur. Tu m’as donné les clefs pour que je sois bien plus forte que je ne le pensais.

Tu es le passé, Je suis le présent et rien ne me fait peur, même ton absence n’a plus d’odeur.

13 octobre 2009

Fin

La gare est si vide se soir, descendre la rue et laisser derrière soi les images d’un monde fou, d’un monde ou rien n’avait de sens, ou juste le sens qu’il lui plaisait.

Près d’elle, tout pouvait s’écroulait, le monde pouvait partir en fumé qu’il s’en fichait. Juste près d’elle, il se sentait le plus puissant des hommes, le plus grand, le plus beau, le plus touchant aussi.

Cette nuit, sa vie c’est fini quand elle lui a dit de partir. Plus rien ne serait comme avant, plus rien pour refaire le passé. Tout est décousu, tout est foutu.

L’amour n’existe plus, juste quelques mots pour dire que l’espoir d’une belle histoire se terminerait ce soir.

Ouvrir sa porte, rentrée chez soi. Ou l’on ne retrouve rien, juste le vide, même son odeur manque et se laissé tomber sur son canapé pour enfin laisser son chagrin parler.

Cette nuit, c’est elle qui a dit le mot de la Fin…

 

10 octobre 2009

Un coup de vent

Depuis quelques heures, le vent s’était acharné à vouloir décrocher les dernières feuilles mortes qui restaient encore accroché aux arbres du jardin. Des heures qu’elle était là, derrière la fenêtre à attendre. Attendre quoi, attendre qui?

Tout à fond d’elle, elle savait bien que personne ne viendrait chamboulé sa petite vie, personne n’aurait l’envie de lui téléphoné, personne à qui sourire tout simplement. Le monde l’avait oublié. Depuis longtemps, trop surement, elle vivait recluse dans sa petite bicoque de fortune.

C’était sa vie, c’était son choix qu’elle pensait définitif puis cette après-midi, pourquoi, pour qui, sans raison elle ressentait ce vide. Etre seule n’avait jamais été un choix réfléchi mais tout simplement imposé par les aléas de sa vie bien minable, et pour se rassurer elle s’était entendue dire combien il y avait avantage à vivre seule que mal accompagné.

Derrières la fenêtre, son corps tanguait comme une mer déchainée, toutes ces larmes ravalées, petites pluies salées qui venaient à nouveau titillé son âme, lui donnait la nausée. Dehors le vent continuait à se déchainer et ces deux mains sur la vitre, accrochaient au vide de l’absence, laissa la pluie déferlait sur ces joues. Son corps entier tremblait, elle voudrait tant retrouver la paix. Ne rien ressentir, juste subir, ne plus pensée, juste oublié.

Elle a comprit, elle savait dans l’instant qu’elle devrait à nouveau laisser le destin se jouer d’elle, peut-être encore souffrir, mais elle était d’accord avec la chanson du vent. Même si la peur est là qui la tenaille, elle a envie je crois, d’amour tout simplement. Des mots jolis, des gestes doux, des sourires magiques qui rendent si beaux, si fort aussi, des baisers au goût de miel, des mains qui s’enlacent, des mains qui aiment.

Et puis si le bonheur venait à rentrée dans son cœur, redire ce mot si grand, celui qu’elle ne peut toujours pas écrire simplement. 

Derrière la vitre embrumée, le vent c’est calmé mais c’est à présent son cœur qui est tout chamboulé.  Besoin d’amour évidemment, besoin d’aimer surement...

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8 octobre 2009

Le temps suspendu

Le temps suspendu à tes yeux

J’attends un mot de toi, un mot chuchoté

Peut être une larme qui viendrait comme ça

Roulé sur ta joue

Le temps suspendu à ta bouche

J’attends un geste de toi, un geste défendu

Peut être un baisé qui viendrai comme ça

Mouillé ma bouche

Le temps suspendu à tes mains

Je n’attends plus rien de toi

Tu les a misent au fond de tes poches

Peut être aura tu des regrets

Demain matin…

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7 octobre 2009

Le diable dans le cœur

Sage comme une image, le son de sa voix pas plus haut que ça

Toujours rester tranquille, n’éveiller aucun doute sur celui qui fera face

Des yeux tendres, une bouche gourmande, il l’enlace

Il baisse les armes, ne se méfit pas, s’enlise doucement

Elle le vampirise avec ces yeux dorée, ses mains câlines

Lui il donne tout de son âme, croyant à l’Amour parfait

Elle lui pardonnerai presque si elle n’était pas aussi bestiale

Mais le diable a prit son cœur et elle n’a aucune pudeur

Quand elle voit un homme se vautré dans ses larmes

Lui juré fidélité, lui dire tous ces mots pas vrai

Le diable à prit son cœur et depuis elle joue à faire mal

Faire mal pour oublier sa douleur

Fallait pas jouer avec son cœur

Depuis le diable y est à l’intérieur

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